Lui, c’est Michel.
Le vrai, l’unique et en personne.
Michel, a tout compris et sait comment charmer son public. C’est un mélange de deep house et de rap français ; autant dire quelque-chose d’assez futuriste, quelque-chose qui lui correspond à merveille.
Michel sait te toucher avec ses mots, sa poésie, et ses reprises des Michel(s) iconiques : Fugain, Berger, Polnareff, Delpech.
Il s’en BLC (ndlr : il s’en bat les cojones), et c’est ça qu’on aime.
Une particularité bien à lui ? Immortaliser un jeudi soir dans un petit club qui porte le nom de Sacré, rue Montmartre.
Ce soir là, on a dansé (et sué) sur les titres de son premier album, Le Vrai Michel. La foule était en délire, et du fond de la salle, on entendait parfois plus le public que l’artiste lui-même. Alors que l’album n’était sorti que trois jours auparavant.
Entre portrait d’une génération milléniale, questionnement intimiste et remise en question perpétuelle, Michel parle en son nom mais aussi pour tout le monde.
À l’heure où on n’entend parler que du Covid-19, Michel balance un clip, à écouter en Illimité. De quoi danser sous les premiers rayons de soleil, et de positiver le plus possible pendant cette période de confinement.
En collaboration avec Scopitone Media