


Ancien membre du groupe Evergreen, William Serfass revient aujourd’hui avec un premier album sous le nom de Wassailer.
Entre délicatesse et brutalité, musique néo folk et urbaine, i, the bastard est un des albums à avoir sous le coude, tant le contenu est fascinant et captivant. Composé d’onze titres, Wassailer n’hésite pas à mettre en avant ses côtés jazzy et urbain, le tout embrassé par une grande sensibilité.
Son premier single Son est sorti en septembre 2020, et il annonçait déjà à quel point la suite ne pouvait qu’être surprenante. Wassailer propose une palette musicale très variée (Foreplay, Trad ou encore Going to the Club), propose des clips à la photographie sublime, le tout afin de créer un cocktail regroupant toutes nos émotions. On en redemande immédiatement.
On le comprendra par la suite en découvrant les autres titres de Wassailer, mais ce dernier est un artiste capable de te faire danser (Settlement), de jouer avec tes sentiments les plus enfouis (242) ou de tout simplement te foutre des frissons dans tout le corps en écoutant une ballade au piano (Song for Elsa).
La voix tremblante mais décidée de Wassailer s’ajoute à des grooves urbains à travers les onze titres, et créent ensemble une nouvelle forme de chanson poétique à l’écriture addictive. Pour preuve, l’album se rejoue en boucle, et ce n’est même pas perturbant.
Disponible sur toutes les plateformes