[INTERVIEW] Des réseaux sociaux à la sortie de son premier EP, rencontre avec Zélie à travers « Zélie c’est quoi ? »

Zélie c'est qui, Zélie c'est quoi ?
Zélie, c'est un petit bout de femme bourrée de talent, déjà connue sur les réseaux sociaux grâce au partage de compositions et de reprises. Zélie, c'est un mélange de pop, de musique urbaine et de variété. Zélie, c'est aussi et surtout un premier EP de neuf titres, Zélie c'est quoi ?, qui sort chez Low Wood le 24 février.
Assises à travers les brouhaha d'un bar aux Buttes Chaumont en début de semaine, Zélie a accepté de répondre à quelques-unes de nos questions. On parle de jeunesse, de collaborations presque faites sur des coups de têtes, ou encore de la fame qui arrive à plein nez.

C’est l’heure de l’interview.

Musicaléomentvotre : Pour commencer, santé !
Zélie : Santé à toi aussi !

M : Comment est-ce que tu vas ?
Z : Je vais très bien, de manière générale. Ça démarre tout juste, et à chaque fois qu’un média s’intéresse à moi je suis très contente.

M : Est-ce que tu peux te présenter à ceux qui ne te connaissent pas encore ?
Z : Je m’appelle Zélie, j’ai 21 ans et je suis autrice, compositrice et interprète. Je fais de la pop francophone depuis deux ans ; c’est un univers qui mélange de la pop « classique » avec des pianos-voix et une petite touche urbaine dans certaines façons de poser.

M : Tu dis que ça fait deux ans que tu fais de la musique, mais qu’est-ce qui avant tout t’a donné envie d’en faire ?
Z : Ça fait deux ans que le projet est plus concret dans ma tête et avec l’équipe avec laquelle je travaille… mais ce qui m’a poussé à faire de la musique c’est, comme beaucoup, cette envie d’être une star quand j’étais petite. Je faisais des spectacles à mes parents, ils m’ont offert un micro Star Academy quand j’avais 7 ans et j’ai écrit une chanson qui s’appelle Noël, pour Noël. J’ai toujours aimé l’art, en ayant fait toute une scolarité de danse étude, en ayant toujours aimé chanter, danser, faire du théâtre…
J’ai commencé à composer quand des amis m’ont offert un ukulélé, pour mes 16 ans. C’est hyper simple, j’ai appris des accords sur YouTube pour apprendre à chanter Yeux Disent de Lomepal, pour ensuite chanter mes compos. En terminale j’ai découvert Garage Band et c’est trop bien car, une fois que tu connais quelques accords, tu peux tout faire.

M : Si on revient un peu sur tes influences, tant pop que urbaines, peux-tu citer des artistes ou œuvres qui t’ont inspiré ?
Z : J’ai d’abord découvert la pop à travers Angèle, assez tôt dans sa carrière, à un moment ou ni moi ni mes potes écoutions de la pop française. Elle est arrivée avec des mots assez simples sur des airs entrainants et puis je suis allée la voir quatre fois en concert en me disant « ça donne envie ».
J’ai ensuite découvert beaucoup de femmes qui font de la pop francophone comme Clara Luciani, Adé, c’est super inspirant ! J’écoute aussi et depuis toujours Disiz, Orelsan et Lomepal pour leurs textes et la manière de poser ; et tu vois, celle qui lie les deux c’est un peu Emma Peters, je suis une grosse fan. Et puis, ma plus grosse influence pour tout ce qui est textes « intimistes », c’est Ben Mazué : il n’y a pas un texte ou je ne me dis pas « mon dieu ». L’avoir vu en concert c’était un peu un deuxième déclic, je crois que je me suis vraiment dit que je voulais faire ça pour moi, et pas que pour faire danser les gens. J’ai envie qu’ils se disent que ma musique est monstrueusement proche de ce que je suis.

M : Et d’ailleurs je trouve que ça se ressent vachement dans ton EP, Zélie c’est quoi ? qui sortira le 24 février. Comment tu te sens ?
Z : *rires* Ouah ! Là je commence un peu à m’impatienter. Je pense que quand tu commences à faire de la musique, tu ne te rends pas forcément compte du temps que ça prend ; tu composes tout le temps des nouvelles chansons, et en même temps celles que tu vas sortir sont super importantes pour toi. En vrai, cet EP c’est la moi d’il y a six mois, donc j’en suis hyper contente et fière, il me représente vraiment très bien. Il est fait de hauts et de bas, de tout ce que j’ai pu ressentir cette année.

M : Tu disais justement que là tu étais vraiment accompagnée par toute une équipe. Certains le savent et d’autres non, mais tu es d’abord passée par une période réseaux sociaux où tu t’es notamment faite remarquer avec une super reprise de Au Revoir mon Amour de Dominique A. Est-ce que tu penses qu’à notre époque les réseaux sociaux sont très importants, notamment en tant que jeune artiste ?
Z : Oui carrément ! C’est propre à chacun, il ne faut pas se forcer, mais ça m’a en tout cas énormément servi. Et même avant TikTok, quand la mode était vraiment Instagram ! C’est ce qui m’a permis de me faire connaître ; une fois par semaine je postais un extrait d’une compo, n’importe qui pouvait tomber dessus et les algorithmes sont intelligents… Après, il ne faut pas oublier de se focus sur sa musique, pourquoi on le fait et ce qu’on veut raconter, mais les réseaux sont étonnants. Il y a des gens qui sont bienveillants, qui comprennent ce que tu dis, qui s’identifient et ça permet vraiment de toucher autre-chose que ton premier cercle.

M : Tant que c’est utilisé à bon escient…
Z : Je pense qu’il faut trouver la bonne manière d’être soi-même, ce qui est compliqué mais pas impossible. Moi je tombe sur un milliard de choses différentes, et je me dis que chacun y trouve sa place.

M : Justement, après la sortie de compos et de reprises sur les réseaux, place à l’EP. Tu sortais tout début décembre un nouveau titre, Zélie c’est quoi ?. Est-ce que tu l’as sortie comme si c’était une carte de visite, avant de déballer la vraie Zélie ?
Z : Carrément même si je ne considère pas encore que l’EP réponde à la question, car il parle beaucoup de questionnements. Mais j’ai sorti ce titre un peu en « avant-première » car il est très différent de ce que je faisais jusque-là ; avec Zélie c’est quoi ?, j’assume le côté avec un peu de débit et les kicks dans les couplets. Ça faisait longtemps que je voulais me séparer un peu de la « pop classique », c’est une manière de dire que la suite ne ressemblera pas forcément à ça, et que je ne vais plus ne parler que d’amour. En ce moment je n’ai pas trop envie d’en parler, car tout va très bien pour moi… je ne souffre pas et n’ai plus rien à dire ! *rires*.
Donc, c’était clairement une façon d’introduire le titre de l’EP, de montrer qu’on parlera de moi, de qui je suis au sein d’un projet… suis-je un projet ? Ou une personne ?

M : Tu abordes plusieurs thèmes dans ce disque, notamment l’amour, la jeunesse, les questionnements qu’on a tous à nos âges. Et tu parles aussi de la « fame ». Tu la vois et vis comment, toi ?
Z : Ça m’inquiète pas mal car les gens ne s’identifient pas forcément : tout le monde ne veut pas devenir célèbre. Je me suis demandé comment je pouvais en parler dans les chansons, c’était un peu un défi pour ne pas passer pour l’artiste qui raconte sa vie… mais je crois que ça m’aide vraiment d’en parler, ça me fait garder les pieds sur terre. C’est vrai que ça me stresse un peu, j’ai peur que mon projet prenne énormément de place et que je ne sache plus comment profiter des plaisirs de la vie, de mes proches, de ma famille, de mon amoureux. Quand j’écris, je pose plein de choses et de questionnements, ce qui concrétise ce que je ressens… et je me dis qu’en vrai, ça va.

M : C’est une des choses que j’ai notés. Ton EP c’est à la fois une carte de visite, et à la fois on apprend beaucoup d’e choses d’un coup sur toi. Mais, pas tout non-plus car il faut garder du mystère…
Z : *rires* et encore, il n’y en a pas beaucoup !

M : Tant mieux ! À un moment je me demandais quelles pouvaient être tes influences, mais en réalité je pense que tu es ta propre influence. Tu parles de toi, de ce que tu connais et de ce que tu vis. C’est un peu comme si tu te livrais comme dans un journal intime, mais en musique.
Z : C’est exactement ça ! Quand je dis le mot « journal intime » j’ai l’impression de sonner comme un cliché, mais en vrai est-ce que ce n’est pas le fil conducteur de chaque artiste ? Par exemple, je ne suis pas très forte pour écrire sur les histoires des autres, j’essaye car je ne peux m’inspirer que de moi-même, je n’ai pas tout vécu, mais pour l’instant le plus facile pour moi est d’analyser ce que je ressens et de l’écrire à ma manière. Je ne suis pas Bigflo et Oli qui eux sont très forts pour parler des problèmes de société, etc…

M : Et puis il faut aussi avoir du vécu.
Z : Mais oui, et peut-être qu’à un moment je n’aurai plus rien à écrire sur moi. J’ai hâte d’avoir un enfant aussi, pour pouvoir écrire dessus ! *rires* Je me dis que ça doit donner tellement d’idées… comme pour Ben Mazué !

M : Quel bel album…
Z : C’est fou ! Il dit vraiment la vérité dans des chansons qui parlent de la vie de papas passé 30 ans (ndlr : dans Semaine A / Semaine B) et je trouve que c’est super rare.

M : Dans ton EP… il y a deux feats qui marquent un peu ton envie de kicker. Comment se sont passées ces collaborations ?
Z : Le premier feat est avec Martin X sur Sable. C’est un ami avant même de faire de la musique. À la base le morceau ne devait même pas sortir sur les plateformes : on avait un concert en commun, avec une chanson qui sortait en même temps et on a voulu la faire sur scène pour lier nos deux sets. On a terminé le morceau qu’on a trouvé très cool, et au final cette collaboration s’est fait de manière très naturelle, pas du tout basée sur un objectif précis.
Et pour le deuxième feat, c’est avec Genezio que je connais du label (Low Wood). C’est le dernier morceau qu’on a ajouté au projet, il y a… trois semaines ! *rires* J’étais en studio avec Medellin qui est un des principaux beatmakers, j’ai écrit Drogue Douce que Genezio a entendu car on met la musique TRÈS forte à Low Wood. Avec Guillaume (ndlr : un producteur), ils ont trouvé que c’était cool et que ça pourrait être sympa de poser dessus. On ne se connaissait pas très bien mais il était très à l’aise : il a écrit son couplet, posé dessus, on a écouté et je trouvais ça trop cool qu’on ne se connaisse ni d’Adam ni d’Eve, mais qu’il comprenne tout de suite de quoi je parlais, tout en y ajoutant sa patte.

M : Ça a carrément matché en fait !
Z : Ouais ! Let’s go !

M : J’en profite pour parler d’une troisième chanson, Merci qui ouvre ton EP : j’ai ouïe dire que tu l’avais écrite après un certain concert sold-out aux Trois Baudets. Pourquoi l’avoir mise au tout début de l’EP ?
Z : J’ai écrit la chanson parce que je ne faisais que pleurer le lendemain des Trois Baudets. Car oui, le bonheur ça fait mal ! J’étais très émue de voir autant de personnes devant moi chanter mes chansons, venir me voir… Parfois je me rends compte que souvent on s’inspire de nos histoires, qu’on en sort des chansons, des gens viennent vers nous pour nous dire qu’ils sont émus, donc on est aussi émus et on réécrit des chansons… c’est un cercle vicieux qui est DINGUE. Je n’avais jamais vu des gens que je ne connais pas dans le public et je trouvais intéressant de faire une chanson qui parle du fait de faire des chansons.
Et pourquoi la mettre en intro… on l’a aussi rajouté au dernier moment ! C’est la chanson qui m’a servis d’annoncer Zélie c’est quoi ?, et à un moment je chante « Je sors un EP et c’est délirant ». On s’est dit que c’était une manière très honnête et simple d’ouvrir l’EP, on n’a même pas retravaillé la prod ! J’avais envie qu’on l’entende en premier car si le public écoute au moins la première chanson, ils sait un peu à quoi s’attendre pour la suite.

M : Et ça donne très envie de découvrir le reste !
Z : Peut-être que j’ai un peu fait l’ordre par rapport à ça… Imagine ceux qui vont s’arrêter au milieu de l’EP car ils n’ont pas le temps de l’écouter ? C’est pour ça que j’ai mis les meilleures chansons en haut ! *rires*

M : En parlant comme ça de concerts, j’imagine que d’autres choses sont prévues pour la suite ? Qu’est-ce que tu prépares ?
Z : Oui ! On fait une release party le 23 février pour être tous présents à minuit au MobHouse à Saint-Ouen. C’est un hôtel super cool, un peu bobo, un peu hipster. C’est de 20h à 00h et à 21h30 je vais huit chansons en piano voix, pour qu’on voit l’aspect plus intimiste des chansons, qu’on s’attarde vraiment sur mes mots. J’ai trop hâte !

M : Tout pareil ! Je vais arriver sur la fin avec deux dernières questions que j’aime bien poser. La première, qu’est-ce qui t’a marqué récemment, en musique ?
Z : Oh, il y en a trop ! Mais récemment comment ?

M : Ce qui t’a marqué, que ça soit sorti il y a vingt ans ou quelques jours.
Z : Ah bah ! Je réécoute vachement La Terre est Ronde d’Orelsan ! *rires* Et sinon j’ai découvert Yoa récemment, je suis bluffée ; je me dis que ça faisait longtemps que je n’avais pas aimé tous les sons d’un projet. J’ai raté son concert à cause d’un examen de danse classique… tout ça pour arrêter la danse ! J’ai revendu ma place et c’était horrible.
Autrement j’adore Poids Lourd de Disiz car elle est incroyable. C’est un beau micmac de je chante, je kick, je vous fait pleurer et en même temps il y a des drums cool.

M : Il sait tout faire. Ma dernière question se tourne vers l’avenir. Qu’est-ce qu’on pourrait de souhaiter de mieux ?
Z : De me trouver un public un peu plus large grâce à l’EP, que ça ne floppe pas. De pouvoir rencontrer les artistes que j’aime, de continuer de collaborer. Ça ne fait pas si longtemps que je fais de la musique donc je sais que je peux encore explorer. C’est de ça dont j’ai le plus hâte. J’ai envie de faire encore plus spécial, plus original, de découvrir des artistes qui m’inspirent comme des Yoa ou des Johnny Jane, de pouvoir collaborer et d’en apprendre plus sur moi-même.

M : Et voilà. Au début on se disait Zélie c’est quoi ? et au final, c’est ça, Zélie.
Z : Et oui, merci.

Zélie c’est quoi ? le premier EP de Zélie, sera disponible le 24 février.
En concert au MobHouse de Saint Ouen le 23 février.
En concert au Badaboum le 18 mars.

[CLIP] Avec « Magique », Ehla tease son premier album : c’est un des hits du début d’année (et il nous tarde d’en découvrir plus)

En ayant l’oreille un brin attentive, on peut directement se dire que cette voix ne nous est pas inconnue, et que ce visage ne débarque pas seulement maintenant sous les projecteurs de l’industrie musicale.

En 2020 sortait le premier EP d’Ehla, Pas d’Ici, qui en maintenant trois ans a pu voyager dans les écouteurs du monde entier. Si Musicaléomentvotre se souvient personnellement très bien d’un titre en particulier, L’Antidote (à savoir celui qui ouvre ce disque), il se peut que d’autres d’entre nous connaissent aussi bien Pas d’Ici, qui cartonne dans la bande originale de la troisième saison d’Emily In Paris. Mais bon, ça c’était avant que la nouvelle année ne pointe le bout de son doigt.

Ehla est bien prête à faire de 2023 SON année : Magique, le premier extrait de son premier album, nous appartient désormais.

Magique annonce la couleur, annonce la nouvelle ère musicale dont s’imprègnera l’autrice, compositrice et interprète dans son premier long format. À travers ce titre et ce clip réalisé par Steven Norel, Ehla nous appelle à re-découvrir des rythmiques tout droit sorties des années 90, celles-ci reprenant les codes traditionnels du R’N’B pour les confondre assez minutieusement avec une pop, notre pop actuelle qui ne cesse d’être revisitée. Ici, Ehla chante le sentiment d’apesanteur et de coolitude si bien, qu’on pourrait presque se surprendre à écouter en boucle cette chanson.

Avec ce titre, Ehla annonce un retour intriguant et qui ne demande qu’à être découvert, écouté puis apprécié. Si Magique se dessine comme étant presque un des hits de ce début d’année, on se demande bien ce que cache ce futur album.

[CLIP] L’amour, vu par The Pirouettes

Quoi de mieux pour annoncer un double album que de sortir un double single ?

Après leur séparation amoureuse, on pouvait craindre la fin de l’idylle qu’entretiennent Léo et Vickie des Pirouettes. Que nenni !

Le duo originaire d’Annecy revient aujourd’hui avec un double single, ET un double single : Encore un peu d’amour et Ciel radieux.

The Pirouettes se partagent la tâche : Léo qui chante principalement sur Encore un peu d’amour et Vickie qui nous envoûte sur Ciel radieux.

Cependant, qui tendra bien l’oreille remarquera que les deux anciens amants se répondent à travers ces deux chansons. Sur fond de pop, le thème principal reste l’amour partagé. Les Pirouettes s’adressent des mots remplis de tendresse et d’espoir, discrets d’un équilibre possible.

Leur idylle est mise en musique, le tout promettant un double album de qualité.
Il me tarde d’être en 2021.

En collaboration avec Balkis Bouhouch, Scopitone Media

[ALBUM] Janie, la petite blonde de la scène pop

Elle écrit et compose, nous chante des ritournelles et ses maux.

Janie a la vingtaine et sait s’imposer sur la scène de la pop française accompagnée de sa voix murmureuse de chansons douces et acides, intemporelles et inscrites dans l’air du temps.

Après avoir sorti une saga de piano / voix, Janie nous a livré à minuit son tout premier EP, Petite Blonde.
Cet opus est aussi dansant que touchant et à travers ce dernier, on retrouve une Janie plus sincère et introspective que jamais.

C’est probablement l’étoile montante de la pop romantique et mélancolique.

Petite Blonde c’est l’histoire de Janie.
L’EP est composé de cinq titres où elle nous laisse des Mots (pas si) Virtuels notamment avec Foé sur fonds de piano simples ou sombres, des titres qui nous donnent envie de retourner en Discothèque pour enfin se lâcher à travers des mooves endiablés. Et si Janie sait te faire danser sur sa pop vintage, elle saura aussi comment faire frissonner ton corps tout entier avec Gremai et Mon Idole.

Alors reconfiné.es oui, mais bien accompagné.es.

En collaboration avec Balkis Bouhouch – Scopitone Media

[CLIP] Janie, les murmures et les vagues

La très frenchie Janie nous emmène en Corse.

Après avoir sorti une dizaine de #Karaokés accompagnés d’artistes issus de la nouvelle scène parisienne, un single et deux clips annonciateurs d’un EP à paraître très bientôt, l’auteure-compositrice et interprète Janie ou Julie de son vrai prénom revient avec Nino ou Rose, une ballade au bord de la mer sur fond d’un piano-voix.

C’est avec une très grande singularité, de jolis murmures et sa délicatesse habituelle que Janie aborde la question de la maternité, question que toutes les femmes se posent un jour ou l’autre.

En 2020, Julie est considérée comme étant une des artistes à retenir voire même la nouvelle Véronique Sanson. On lui souhaite de douces années de musique.

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En collaboration avec Scopitone Media

[CLIP] Lâcher prise avec The Pirouettes

Alors qu’ils se sont fait connaître tout seuls en 2016 avec leur premier album Carrément Carrément ou encore avec Monopolis, le duo constitué de Vickie Chérie et Leo Bear Creek est aujourd’hui reconnu comme étant un des duos les plus marquants et attachants de la pop hexagonale actuelle.

Après San Diego et Pli du Cœur, The Pirouettes revient aujourd’hui avec un tout nouveau clip accompagné de Timothée Joly.

C’est Lâcher Prise, extrait de leur nouveau projet prévu pour l’automne 2020.

À travers des paroles et une identité très colorée, The Pirouettes continue d’écrire des chansons qui parlent d’eux, des autres, mais surtout de nous. Et pour cause, leurs titres en forme de chansons-confessions, abordent avec facilité les thèmes de l’amour, de la solitude ; et de ce que je sais, nous sommes tous concernés.

En collaboration avec Scopitone Media

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