[ALBUM] Mademoiselle K revient avec un album éponyme, cinq ans après « Sous les brûlures l’incandescence intacte »

On ne présente plus Mademoiselle K.
Son dernier album, Sous les Brûlures l’incandescence Intacte marquait le retour de la chanteuse sensible et rock. Connue notamment pour le succès de titres comme Jalouse ou encore Ça Me Vexe (issus de l’album du même nom en 2006), Katerine Gierak de son vrai nom n’a pas dit son dernier mot.

Aujourd’hui, Mademoiselle K est plus que jamais de retour avec un sixième album, Mademoiselle K.

Mademoiselle K est un disque qui regroupe cinq années d’écriture et de composition, pour garder onze titres qui constituent cet album de 35 minutes. Sa première particularité ? Il n’a pas été créé seul. En effet, plus de 2000 fans ont contribué à la naissance ce dernier grâce à la plateforme Ullule, pionnière du crowdfunding. Et tant mieux.

Ici, Mademoiselle K nous chante la vie sur fond de guitares électriques ou de guitare acoustique, toujours accompagnée par sa voix reconnaissable parmi de nombreuses autres : un brin cassée et alarmante, mais toujours avec beaucoup de sensualité. C’est un peu ce qui fait qu’on l’aime tant depuis des années, non ?

Mademoiselle K chante des chansons qui s’écoutent seul.e ou à deux, sur une enceinte avec le volume tourné au plus fort ou au contraire tout bas pour discerner chaque note de l’album, en faisant corps dans une salle de concert ou tapi dans le noir. Ce disque permet à cette grande chanteuse de se faire entendre une nouvelle fois, en proposant une poésie qui lui est propre et dont on ne se lasse pas.

Mademoiselle K, l’album éponyme, est disponible depuis le 14 octobre.

On y parle d’Intensité et de Tendresse, de Garçon Bleu et de CRS, de Chloroforme ou encore de Sueur, et bien que ces mots puissent parfois paraitre bien simples, il nous fait du bien de les entendre chantés par une grande Dame du rock français et féminin.

Mademoiselle K jouera à La Cigale le 21 novembre (et ça risque d’être intense).

[ALBUM] La deuxième partie de « Dissidænce » de Vitalic vient de sortir, la tournée peut commencer

Cinq mois se sont écoulés depuis que Vitalic a sorti Dissidænce episode 1 à l’occasion des vingt ans de carrière de l’artiste. Comme promis, à quelques jours du début de sa tournée, le producteur français est de retour avec Dissidænce episode 2 et, on ne va pas se mentir, c’est une vraie claque qu’on se prend.

Le premier extrait, The Light Is A Train, est sorti il y a trois semaines, et on devait se douter que ce qui nous attendait ne nous laisserait pas de marbre. La preuve en écoutant ces sept nouveaux titres.

À commencer par Sirens qui ouvre le bal, une sorte d’électro-choc loin d’être désagréable. S’en suivent alors cinq titres qui rappellent le Vitalic d’antan en puisant dans une techno sombre, inscrite dans une ambiance plus froide que celle du premier volet de Dissidænce.
Marching, l’avant-dernier titre de cet opus est un véritable banger qui nous emmène hors du temps, dans une toute autre dimension : celle de la mélancolie et de la poésie ; ancrées dans l’ADN de l’artiste.
Et puis Winter Is Coming vient boucler la boucle de ce double album, et c’est tout bonnement magnifique, une outro digne du grand art que fait Vitalic depuis le début des années 2000.

Dissidænce episode 2 est un album qui revient aux sources du producteur, un album qui nous replonge dans les raves techno des 90’s, un album qui nous fait nous sentir vivant de la première seconde à la trentième minute.

Si ce disque s’écouterait bien en boucle dans nos casques, il nous tarde déjà de retrouver Vitalic sur la scène de l’Accor Hotel Arena le samedi 12 mars ou encore, pour les plus chanceux, sur la route des festivals de cet été.

[ALBUM] Vitalic fête ses 20 ans avec « Dissidænce épisode 1 »

2005 : Trahison. 2009 : Poison Lips. 2012 : Stamina.

Trois titres parlants, tu me diras. Si c’est derniers ont fait de lui une des figure emblématiques de la French Touch depuis les années 2000, lointaine est l’idée de s’arrêter en cours de route. Après son dernier album Voyager sorti en 2017, le producteur caméléon Vitalic signe son grand retour avec huit nouveaux titres extraits d’un double album, DISSIDÆNCE.

Au cours de cette année, trois singles annonçaient déjà la sortie de cette première partie d’album : Carbonized, un premier extrait qui présageait un retour très attendu, 14AM, un titre plus vaporeux et enfin, Rave Against The System en duo avec Kiddy Smile qui nous rappelait l’énergie inimitable que l’on retrouve en rave. C’est clair, net et précis, Vitalic est bel et bien de retour pour faire danser nos corps et nos âmes.

Au sein de Dissidænce épisode 1, on peut retrouver de la pop, du rock, de la techno et parfois même une once de punk si l’on tend bien l’oreille. Vitalic est un artiste touche-à-touche, et c’est bien pour cela que ce nouvel opus est divisé en deux parties :

En le composant je me suis rendu compte que huit titres me semblaient trop peu pour un album et seize vraiment trop et du coup j’ai décidé de couper le tout en deux ! – Vitalic

Ces premiers huit titres font figure de très belle introduction à ce qui arrive par la suite, à savoir un disque encore plus hardcore, signant un retour aux sources et un condensé de ce que le producteur sait faire de mieux. Entre titres électro-disco, punk-électro, beats martiaux et gimmicks électroniques, on ne peut s’empêcher de penser que la suite nous impressionnera encore, encore et encore plus.

Si Vitalic est connu pour ses titres énergiques et pour ses remixes effrénés pour le grand Etienne Daho ou pour la DJette Louisahhh, n’oublions pas de préciser ses live shows sont tout aussi remarquables.

Et, tu t’en doutais peut-être, mais livrer un album sans scène à la clé n’était pas envisageable. Rendez-vous donc le 12 mars 2022 à l’Accor Hotel Arena (Paris) pour fêter les 20 ans du producteur, tout en laissant nos corps être habités par la musique de ce maestro de la musique électronique.

[CLIP] Quand les musiques électroniques arrivent jusqu’à JOSÉ

Parfois plus connu dans un univers rock, notamment avec Stuck in The Sound, José R. Fontao revient avec un nouveau clip, qui lui permet désormais de faire partie du milieu des musiques électroniques.

Son premier EP Dada étant sorti en octobre dernier, José ouvre 2021 avec le clip de Beyond Doubt, qui nous en met plein les yeux.

José esquisse avec ce titre un nouveau versant de sa personnalité, soit dit en passant haute en couleur et bercée par les influences et la chaleur du Portugal. Même si le clip de Beyond Doubt raconte très simplement l’histoire rocambolesque d’une boîte de sardines un peu particulière, ce titre nous invite à lâcher prise, danser et faire la fête à une période où rien de tout cela n’est possible. C’est alors plein de good vibes que peuvent commencer cette année et cette nouvelle vie pour José.

En collaboration avec Marion – Ephelide