Il est l’un des français les plus internationaux depuis près de dix ans. Son secret? Combiner house music, funk, disco, afrobeat ou encore de la soul. Il est passé par Tomorrowland, Glastonbury, Coachella ou encore plus récemment le Kappa Futur Festival, a traversé l’Europe ou bien même les Etats-Unis et pourtant, il est inconcevable de se passer de sa musique. Aujourd’hui, je te parle de Folamour : DJ, producteur et multi-instrumentiste aux mille racines. Son nouvel album, ‘Movement Therapy‘, est disponible depuis mi-juin, et il fait probablement partie des disques qui vont t’accompagner tout l’été durant.
Folamour a ce don de faire danser sur une musique qui ressort extrêmement positive et engagée à la fois. Dans ce nouvel opus, il déclare son amour au monde entier en abordant alors des thèmes comme la liberté et l’unité, le partage et l’humanité. Sous ses bobs qu’il ne lâche jamais, se ‘cache‘ toujours un énorme sourire qu’il tient tout du long de ses sets (Boiler Room, Cercle…) et on ne s’en lasse pas non plus.
S’il s’était déjà imposé dans le paysage électronique français avec ses premiers albums, ce nouveau disque de 14 titres dont deux collaborations (Kabusa Oriental Choir et Allysha Joy) confirme une nouvelle fois sa place de pépite internationale. ‘Movement Therapy‘ est une invitation au voyage, un disque lumineux et optimiste au possible, un disque qu’il fait bon d’écouter fort, très fort. C’est une ode à la liberté tant de manière personnelle que de façon plus globale et humaine ; un appel à envoyer paître les barrières qu’on s’impose pour au final, être soi-même et accepter le monde qui nous entoure (notamment avec ‘Ca va aller‘).
En BREF, Folamour nous a conquit en 2019 avec un super album, ‘Ordinary Drugs‘ et une fois n’est pas coutume : on se passe encore en boucle ce nouveau disque, qui nous accompagnera bel et bien jusqu’à la fin de l’été. Si on a pu le voir pendant au Kappa Futur Festival en Italie, il nous tarde déjà de le voir dans de nouvelles configurations scéniques, notamment au Zénith de Paris le 29 novembre.
En attendant, on stream et on va le voir à Dour ce week-end.
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