

Amoureux de l’amour, des papillons dans le ventre et des sentiments parfois incontrôlables ? Attention, ce mini-disque est probablement fait pour toi. Tu as dans ta playlist Pépite, Christophe ou encore Vladimir Cosma ? Alors ça y est, c’est certain : tu as besoin de rajouter dans ta bibliothèque le premier EP d’Edouard Bielle. Éternel sentimental, vintage et super moderne à la fois, Edouard sortait vendredi dernier Loverdose, un premier disque rempli uniquement d’amour, de synthés qu’on imagine briller de mille feu, le tout teinté de son quelques peu « kitsch » qui ne sont certainement pas pour nous déplaire.
C’est beau, et c’est à écouter d’urgence.
Notre route a été mise sur celle d’Edouard Bielle en février dernier, et il nous tardait de découvrir l’entièreté de son projet. Sur des notes pop, parfois mélancoliques mais surtout belles à souhait, le jeune chanteur signé depuis près d’un an chez Cracki Records remet la chanson française au goût du jour (et sans grand difficulté si tu veux notre avis). Allure irréprochable en toute circonstance, voix tantôt aiguë tantôt plus grave, il était presque écrit « interdiction d’ignorer » en face de nous lorsqu’il sortait Je t’oublie déjà, il y a quelques mois. Et on a visiblement bien fait d’attendre patiemment la sortie de cet EP.

A travers Loverdose, Edouard Bielle met des mots en musique, parle ouvertement de ses propres maux et fait rimer amour avec humour.
On se laisse alors porter par cette douce poésie des temps modernes, tomber dans cette Loverdose de drogue douce, afin de laisser échapper à la fin de l’EP le nous « romantique ».
Si si, je t’assure : on a tous une part cachée.

Si nous n’avons rien à dire sur la musique d’Edouard Bielle, pour preuve : on a écouté l’EP déjà beaucoup trop de fois, il nous tarde de le découvrir également sur scène. Alors, à tous les sentimentales, seuls ou accompagnés, la prise de rendez-vous est à l’ordre du jour : Edouard jouera le 14 février à La Maroquinerie… et on ne loupera pour rien au monde ce trop plein d’amour et de bonnes énergies, qui plus est musical.
Edouard Bielle, nous aussi on a fait une Loverdose.

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